

Simon Morin présente PANORAMA, un nouvel album aux couleurs franches, résolument
pop-rock. Après ÉBÈNE paru en novembre 2019, il tend aujourd’hui un second disque
assumé, comme tout ce qu’il entreprend et accomplit, d’ailleurs !
Créateur dont les goûts musicaux éclectiques se fondent à sa personnalité
et à ce qu’il compose. Avec PANORAMA, Simon Morin n’a qu’un seul but,
celui d’offrir un univers musical plus lumineux et positif
que ce qu’il a pu présenter dans le passé.
Conçu à distance, mais dans une étroite complicité
artistique avec son équipe de créateurs -
Étienne Chagnon à la réalisation et
Amélie Laroque qui prête sa
plume à certains textes, voilà
un panorama, une vue d’ensemble
splendide de tout ce que
cet artiste a envie d’offrir
sans barrière
et sans
contrainte.



LIVRET







PAROLES DES CHANSONS
À ZÉRO
Tout devoir recommencer à zéro
La lueur du jour après le chaos
On peut apprendre à voler ou se laisser tomber
On a bâti des ponts
On les a délaissés
On est restés au front
Malgré tous les coups de nos erreurs du passé
On a visé la lune
On s’est prêtés au jeu
On a marché dans la brume
En suivant les étoiles qui nous éloignaient du feu
À chacun son destin
Comme les lignes d’une main
Si loin et si près à la fin
Tout devoir recommencer à zéro
La lueur du jour après le chaos
On peut apprendre à voler ou se laisser tomber
Tout devoir recommencer à zéro
On a crié au loup
Au milieu du désert
On s’est rendus jusqu’au bout
En regardant la solitude ici sur terre
À chacun son destin
Comme les lignes de ma main
Si loin et si près à la fin
Tout devoir recommencer à zéro
La lueur du jour après le chaos
On peut apprendre à voler ou se laisser tomber
Tout devoir recommencer à zéro
Tout devoir recommencer à zéro
La lueur du jour après le chaos
On peut apprendre à voler ou se laisser tomber
Tout devoir recommencer à zéro
Musique & Paroles : Simon Morin &
ICI MAINTENANT
J’ai fait le tour, le mal est fait
J’ai pas pu m’empêcher de replonger mon corps, ma tête dans la tempête
Hier encore dans mes regrets
Le temps me court après, je sais
Ici maintenant, je reprends ma place
Ici maintenant, j’ remonte à la surface
Je sais, je sais, je sais il m’en faudra bien du courage
Je sais, je sais, il m’en faudra
Et moi je cours après ma vie
Je manquerai le train à trop vouloir, j’ finirai par me perdre au change
Ici maintenant, je reprends ma place
Ici maintenant, j’ remonte à la surface
Je sais, je sais, je sais il m’en faudra bien du courage
Je sais, je sais, il m’en faudra
Je veux fuir le monde
Celui qui m’a tout appris, mais qui n’a plus sa raison
Je veux rêver le monde
Celui qui m’attend ici, dans ses nouvelles saisons
Ici maintenant, je reprends ma place
Ici maintenant, j’ remonte à la surface
Je sais, je sais, je sais il m’en faudra bien du courage
Je sais, je sais, il m’en faudra
MA CHANCE
Plus une seconde
À perdre avec mes peut-être
Il y a tout un monde
Je veux vivre avant de disparaître
Mais j’ sais pas comment faire pour tout surmonter
Mais j’ sais pas comment faire pour ne pas couler
Je déjoue mes repères, je dois me relever
Et tout affronter
Quoi qu’il en coûte
Aucune vague n’est trop haute pour moi
Quoi qu’il en coûte
Si ma chance ne vient pas d’elle-même, je la prendrai
Mes pensées font de l’ombre
Elle se suivent mais ne se ressemblent pas
À quoi dois-je répondre
Entre le vrai et les rêves que je crois ?
Mais j’ sais pas comment faire, j’ dois recommencer
Mais j’ sais pas comment faire pour tout surmonter
Je déjoue mes repères, je dois me relever
Et tout affronter
Quoi qu’il en coûte
Aucune vague n’est trop haute pour moi
Quoi qu’il en coûte
Si ma chance ne vient pas d’elle-même, je la prendrai
J’ veux voir le ciel, au-delà des frontières
J’ veux avancer, vibrer, écrire mon histoire
Lâcher ce qui me traîne en arrière
Me redonner une chance
Une chance
Quoi qu’il en coûte, je n’arrêterai pas
Aucune vague n’est trop haute pour moi
Quoi qu’il en coûte, je vivrai pour ça
Si ma chance ne vient pas d’elle-même
Quoi qu’il en coûte
Aucune vague n’est trop haute pour moi
Quoi qu’il en coûte
Si la chance ne vient pas d’elle-même, je la prendrai
Musique & Paroles : Simon Morin,
Musique & Paroles : Simon Morin &
DANS L’ŒIL DE LA TEMPÊTE
Y a plus un chat dans la rue
On a saigné la beauté
Le ciel est gris, l’hiver est cru
Les anges peuvent bien pleurer
La chance qui nous joue des tours
La décadence des mauvais jours
Quand le printemps frappe à la porte
Que le diable l’emporte
Dans l’œil de la tempête
C’est comme si le temps s’arrête
Mon amour, notre chien est mort
Plus rien dedans, plus rien dehors
Dans l’œil de la tempête
C’est comme si le temps s’arrête
Mon amour, notre chien est mort
Plus rien dedans, plus rien dehors
Mais passent, passent les saisons
Et on retourne au tourbillon
Dans le grand vacarme intérieur
Les natures mortes me font peur
Que le diable l’emporte
Dans l’œil de la tempête
C’est comme si le temps s’arrête
Mon amour, notre chien est mort
Plus rien dedans, plus rien dehors
Dans l’œil de la tempête
C’est comme si le temps s’arrête
Mon amour, notre chien est mort
Plus rien dedans, plus rien
Dans l’œil de la tempête
C’est comme si le temps s’arrête
Mon amour, notre chien est mort
Plus rien dedans, plus rien dehors
Dans l’œil de la tempête
C’est comme si le temps s’arrête
Et le soleil ne brille pas fort
Quand rien ne nous attend nulle part
Et le soleil ne brille pas fort
Quand rien ne nous attend nulle part
UN JOUR
Un jour qui passe comme une année
Je devrai me dépasser, encore plus que je peux donner
Aussi longtemps que j’ pourrai tenir
Faudrait pas couler le navire, j’ai le monde entier à servir
Un jour qui pèse comme une année
Je ne sais pas comment m’arrêter
Un jour où j’ n’ai plus rien vu du tout
Un jour où j’ suis tombé à genoux
C’en était trop, je n’avais pas les mots
Un jour où la Terre, j’ l’ai fait trembler
Un jour où c’est moi qui a craqué
Y en avait trop, je voulais trouver les mots
Un creux de vague dans l’océan
Je ne sais même plus comment me laisser porter par le courant
Y a bien longtemps qu’ j’ai peine à tenir
Avant d’ faire couler le navire, loin du monde entier, j’ vais partir
Je n’ vois rien qui s’éclaire, je suis encore loin derrière
Un jour où j’ n’ai plus rien vu du tout
Un jour où j’ suis tombé à genoux
C’en était trop, je n’avais pas les mots
Un jour où la Terre, j’ l’ai fait trembler
Un jour où c’est moi qui a craqué
Y en avait trop, je voulais trouver les mots
Un jour, où t’en as pris un grand coup
Le jour, où j’ suis tombé à genoux
C’en était trop Je n’avais pas les mots
Un jour où la Terre s’est éloignée
Un jour, sans prévenir, j’ai craqué
Y en avait trop, je voulais trouver les mots
Un jour qui pèse comme une année
Je ne sais pas comment m’arrêter
Musique & Paroles :
Musique & Paroles :
QUAND LES MURS TOMBERONT
Je me sens si seul
Face au monde je me referme, je me braque
C’est comme si la peur m’engueule
Tout ce qui m’arrive, moi je contre-attaque
Ta main se dépose
Lentement sur mon visage, je me pose
Les vraies questions me brûlent
La douleur revient, je m’enfuis mais
Quand les murs tomberont
Si tu es encore là
J’espère tenir bon
Devant tous mes combats
Quand les murs tomberont
Quand les murs tomberont
Le rythme s’impose
Tu le danses avec moi même ici
Mais la porte reste close
La douleur revient, je m’enfuis mais
Quand les murs tomberont
Si tu es encore là
J’espère tenir bon
Devant tous mes combats
Quand les murs tomberont
Quand les murs tomberont
La douleur au loin, j’ai compris
Quand les murs tomberont
Si tu es encore là
J’espère tenir bon
Devant tous mes combats
Quand les murs tomberont
Quand les murs tomberont
Musique & Paroles : Simon Morin &
J’ TE PROMETS
Longtemps, je t’ai vu dans les photos, je t’ai vu bien avant le début
Longtemps, je t’ai serré dans mes bras, j’ t’ai promis, bientôt on s’ verra
Je ne sais pas vraiment, c’ qu’il faudra faire quand je s’rai père
J’ voudrais pas donner mes revers, non
Devant les grands mystères, je n’ sais pas quoi faire, je t’avoue
Contre les vents et mers, j’ te promets, j’ me tiendrai debout
Pourtant, y a eu des moments où j’ n’y voyais rien, pas l’ombre d’un demain
Pourtant, y a eu des jours où je n’aurais pas su te prendre la main
On me le dit souvent « Y a pas de carte, ni de repère,
Faudra faire confiance à ton flair »
Devant les grands mystères, je n’ sais pas quoi faire, je t’avoue
Contre les vents et mers, j’ te promets, j’ me tiendrai debout
Devant les impossibles, je serai là, à tes côtés
Contre les insensibles, j’ t’apprendrai à te protéger
Y aura des jours où j’aurai peur, d’autres, confiance
Je m’engage à te donner du temps, ma présence
Devant les grands mystères, je n’ sais pas quoi faire, je t’avoue
Contre les vents et mers, j’ te promets, j’ me tiendrai debout
Devant les impossibles, je serai là, à tes côtés
Contre les insensibles, j’ t’apprendrai à te protéger
CE QUE NOUS SOMMES
Je la revois, la scène, comme si c’était hier
Je pourrais changer le point de vue, mais j’y verrais moins clair
On en a pris des coups, pour le meilleur et pour le pire
Et t’es encore là pour le dire
À travers les heures
Une à une, ça devient ce que nous sommes
Au travers, en chœur
Je vois le dessin de ce que nous sommes
C’est plus haut
Plus haut, plus haut, mon drapeau, mon bel amour
Plus haut, le saut, tant que j’ t’ai aux alentours
C’est plus haut, mon drapeau, mon amour
Y a personne, comme ce que nous sommes, comme ce que nous sommes
Je les revois, les couleurs, tous les paysages
Peut-être qu’on a changé, on devient plus sage
On a fait des grands coups, y a tant de rêves à définir
T’es encore là pour les écrire
À travers les heures
Une à une, ça devient ce que nous sommes
Au travers, en chœur
C’est bien le dessin de ce que nous sommes
C’est plus haut
Plus haut, plus haut, mon drapeau, mon bel amour
Plus haut, le saut, tant que j’ t’ai aux alentours
C’est plus haut, mon drapeau, mon amour
Y a personne comme ce que nous sommes
C’est plus haut
Plus haut, plus haut, mon drapeau, mon bel amour
Plus haut, le saut, tant que j’ t’ai aux alentours
C’est plus haut
Mon drapeau, mon amour
Y a personne, comme ce que nous sommes, comme ce que nous sommes
Musique :
Paroles :
Musique & Paroles :
CHACUN POUR SOI
Tout en haut de ma tour
Je prends tout ce qu’il y a autour
Toujours plus grands, je vois mes rêves se dessiner
S’il le faut je les volerai
Non, je ne t’attends pas
Ah ! C’est chacun pour soi
J’ sais pas comment aider
Je veux prendre et ne rien donner
Pourquoi s’en faire, de toute façon y a rien à voir
Je dois garder ma trajectoire
C’est chacun pour soi, moi je n’attends pas
Y a tant à faire, tout s’écroule autour de moi
C’est chacun pour soi, je ne t’attends pas
C’est chacun pour soi
Faut pas r’garder derrière
La pitié est un pauvre repère
Qu’on crie, qu’on pleure, jamais personne n’est près de moi
Qu’ils crient, qu’ils pleurent, je n’entends rien quand ils aboient
Non, je ne t’attends pas
C’est chacun pour soi, moi je n’attends pas
Y a tant à faire, tout s’écroule autour de moi
C’est chacun pour soi, je ne t’attends pas
C’est chacun pour soi
Non, je ne t’attends pas, moi je n’attends pas
Y a tant à faire, tout s’écroule autour de moi
C’est chacun pour soi, je ne t’attends pas
C’est chacun pour soi
C’est chacun pour soi, moi je n’attends pas
Y a tant à faire, tout s’écroule autour de moi
C’est chacun pour soi, je ne t’attends pas
Non, je ne t’attends pas
C’est chacun pour soi, moi je n’attends pas
Y a tant à faire, tout s’écroule autour de moi
C’est chacun pour soi, je ne t’attends pas
C’est chacun pour soi
Ah ! C’est chacun pour soi
Musique & Paroles : Simon Morin,
TOMBER DANS L’OUBLI
Hier amer
À présent dans mes tourments
Je retrouve mes repères
Je déjoue mon élan
La pluie sur ma peau
Je marche, je dois partir
La goutte de trop
Je fuis mes souvenirs
Tomber dans l’oubli, marcher dans la nuit
Résister au désir de mentir, m’enfuir, détruire
Foncer dans l’oubli, courir dans la nuit
Résister au désir de mentir, m’enfuir, détruire
Un sourire qui s’accroche
Se dessinent mes frontières
Poings fermés dans les poches
Des idées dans les airs
L’envie de tout recommencer
Tomber dans l’oubli, marcher dans la nuit
Résister au désir de mentir, m’enfuir, détruire
Foncer dans l’oubli, courir dans la nuit
Résister au désir de mentir, m’enfuir, détruire
Combien de jours encore j’ pourrai tenir contre mes peurs, mes délires
Combien de kilomètre pour voir ailleurs
Combien de jours encore à la dérive contre mes peurs, mes délires
Combien de kilomètre à m’enfuir, mentir, détruire
L’envie de tout recommencer
Tomber dans l’oubli, marcher dans la nuit
Résister au désir de mentir, m’enfuir, détruire
Foncer dans l’oubli, courir dans la nuit
Résister au désir de mentir, m’enfuir, détruire
Combien de jours encore j’ pourrai tenir contre mes peurs, mes délires
Combien de kilomètre pour voir ailleurs d’autres couleurs
Combien de jours encore à la dérive contre mes peurs, mes délires
Combien de kilomètre à m’enfuir, mentir, détruire